Statistiques => Alonso, quel solide leader !
Fernando Alonso : 74 pts sur 80 possibles, Un record !
Alors que la mi-saison approche, Fernando semble plus que jamais en position de force pour remporter son deuxième championnat du monde. En finissant les 8 premières courses de la saison sur le podium, Fernando fait le hold-up sur les points avec un taux de réussite de 92,5%, du jamais vu à cette période de l'année dans toute l'histoire de la F1 !
D'autant plus qu'il possède maintenant 25 points d'avance sur le deuxième, Michael Schumacher, et que sa voiture semble toujours un léger cran au dessus comme il nous l'a démontré ce week-end avec le premier "grand chelem" de sa carrière (pôle, meilleur tour en course et victoire).
Pour rappel, l'an dernier à la fin du 8ème GP de la saison 2005, Alonso possédait un taux de réussite de 73,75% et 22 points d'avance sur Kimi Raikkonen son second, qui semblait à cette époque de l'année avoir une voiture supérieure à la R25. Dès lors, on comprend mieux la confiance de Renault et de son champion de pilote, surtout que le team compte 33 points d'avance sur Ferrari alors que l'an dernier l'écart entre Renault et McLaren était de 23 points.
Ainsi en 2006 Renault et Alonso sont bien partis pour remettre le couvert !
Et Fernando d'enfoncer le clou en déclarant à son équipe après avoir franchit la ligne d'arrivée en Angleterre :
« C'est fantastique, merci. Nous avons gagné à Barcelone, ma course à domicile. Nous avons gagné ici, votre Grand Prix à domicile pour la plupart d'entre vous et pour moi aussi puisque je vis à Oxford et que je me sens désormais mi anglais, mi espagnol ! Maintenant, nous devons gagner en France pour l'équipe. Nous pouvons le faire, vous êtes les meilleurs ! »
Mais, avant cela, s'annoncent les deux GP les plus difficiles pour Renault car pleins de mauvais souvenirs : le Canada où malgré une voiture favorite sur ce circuit, Renault n'a jamais brillé. Et les Etats-Unis, théatre d'un FIAsco monumental l'an dernier... Outre-Atlantique Renault n'a qu'un objectif comme le dit Bob Bell :
« J’aimerais vraiment tordre le cou à cette malchance et pouvoir enfoncer le clou lors des courses américaines. Après tout, nous avions connu une course difficile à Monaco en 2005 et nous nous y sommes imposés cette année… Montréal et Indianapolis seront des courses stratégiquement importantes pour le championnat : c’est à ce moment que certains rivaux décideront de poursuivre le développement de leurs voitures ou de jeter l’éponge. Si nous quittons les Etats-Unis avec une avance confortable, nous disposerons d’un avantage psychologique certain. Les deux prochaines courses seront donc déterminantes. »
Mais, avant cela, s'annoncent les deux GP les plus difficiles pour Renault car pleins de mauvais souvenirs : le Canada où malgré une voiture favorite sur ce circuit, Renault n'a jamais brillé. Et les Etats-Unis, théatre d'un FIAsco monumental l'an dernier... Outre-Atlantique Renault n'a qu'un objectif comme le dit Bob Bell :
« J’aimerais vraiment tordre le cou à cette malchance et pouvoir enfoncer le clou lors des courses américaines. Après tout, nous avions connu une course difficile à Monaco en 2005 et nous nous y sommes imposés cette année… Montréal et Indianapolis seront des courses stratégiquement importantes pour le championnat : c’est à ce moment que certains rivaux décideront de poursuivre le développement de leurs voitures ou de jeter l’éponge. Si nous quittons les Etats-Unis avec une avance confortable, nous disposerons d’un avantage psychologique certain. Les deux prochaines courses seront donc déterminantes. »
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